Par où commencer… ?
Premièrement les accès à internet ne sont pas simple… et toujours payant. De 4 à 6$ de l’heure…et ce n'est pas rapide!
Partie de Taupo jeudi dernier, le 28. J’eu un long trajet d’autobus et pas des plus agréables !
Pour débuter l’autobus fût en retard de plus de 30 minutes, et il est plein, aucune place de disponible, bien tassé ! Je partageais donc le banc d’une fille un peu étrange et qui ne semblait pas très propre ! Parfois en petit bonhomme sur son banc, elle prenait des photos et parlait un peu toute seule. Pas une seule fois, elle a regardé en ma direction, elle me tournait le dos ! Elle voyageait avec un garçon assis derrière moi, qui chantait à voix haute avec ses écouteurs ! Un beau duo !
L’autobus n’était pas très grand et ne disposait pas de compartiment à bagages… c’est donc une trailler qui trimbalait mon bagage à l’arrière de l’autobus !
Par ailleurs la route fut vraiment belle, nous sommes passé très près du volcan Tangariro… mon premier volcan. J’ai vécu mon premier grand moment de frustration, niveau autobus, à ce moment quand je réalisai que je ne pouvais même pas prendre une foutue photo !
Tous ces paysages défilaient devant moi, j’arrivais à voir par la fenêtre entre le banc et une tête…J’étais déçue.
Parti en retard, arrivée en retard, si bien que mon transfert de 45 minutes, prévu pour souper, devint un transfert direct, en route pour Wellington.
Auberge de jeunesse, telle une tour à appartement au centre de la ville, je fus charmée par la gentillesse des gens à la réception. Ça commençait bien.
Je déposais mes choses et partie explorer la ville et trouver un endroit ou prendre une bière et écrire un peu… Premier bar intéressant… un bar avec une tête d’orignal qui ornait le mur !
Je poursuis, question de sentir un peu la vibe de cette ville.
Marchant à travers Wellington, je me disais… qu’il n’y avait rien à faire… J’aime les villes !
Je marchai un deuxième coin de rue et m’arrêtai pour regarder un édifice peint en zèbre... Et, là. J’entendis mon nom !
C’était Maren, la fille d’Allemagne avec qui j’avais partagé mon souper à vieille à Taupo.
En route pour une bière avec ma nouvelle amie, nous arrêtions finalement notre choix sur un bar des années 80. Electric avenue.
Une bière, deux bières, sur la petite terrasse à deux tables qui nous permet de voir les gens circuler dans la rue, et d’admirer les moustaches néo-zélandais (alors là vous devez peut-être lire « Mo »vembre pour comprendre…), dans un quartier passant et branché de Wellington.
Nous passions une très bonne soirées, rigolant devant les extraits de « Love boat » de « Dukes of Hazards », « Dirthy Dancing » et e « Mac Giver ».
Nous décidions de nous donner rendez-vous le lendemain, pour un peu de magasinage, et pour une visite du jardin botanique.
Le lendemain, vendredi le 30 novembre à 10h30.
Rendez-vous.
Nous débutions par explorer la rue Cuba. Des boutiques, des cafés, des terrasses. J’ai trouvé sur super robe dans une friperie pour 10$ ! Heureuse de mon achat, nous poursuivions.
J’aime beaucoup cette ville… Une belle ville, propre, pas trop grande, avec plus d’un théâtre, des foules de gens qui jouent de la musique dans la rue (dans la soirée et la nuit, ce sont des band complet qui jouent dans la rue !!!), et un festival d’art fin février, début mars, auquel, je me promets de revenir…
Les Néo-Zélandais sont, sincèrement, plus que sympathiques !
Tout le monde est gentil !
Arrêt sushi avec mon amie, nous nous dirigeons le cable car, qui nous mènerait au jardin botanique.
Mon amie ayant les muscles bien endoloris d’une marche en montagne des jours précédents, nous décidions de rester sur les sentiers plats et de retourner vers le café du sommet du cable car et de prendre un café là en admirant la vue le de ville.
C’est alors que nous avons rencontré Linika, l’un des hollandaise qui était du souper de l’avant-veille à Taupo.
Le monde est vraiment petit!
À trois, nous poursuivions notre visite du jardin botanique, s’aventurant sur les sentiers malgré les muscles souffrants de Maren.
Jardin de roses, maison des bégonias, jardins d’herbes…et tranquillement, nous retournions vers la ville et vers le parlement pour tenter une visite, malgré l’heure un peu tardive de fin d’après-midi. Trop tard pour visiter…
Nous bardions un brin avec un journaliste politique qui s’apprêtait à faire sa nouvelle télévisée. Tout en faisant son noeud de cravate, il nous invita dans un bar pour le soir, un bon groupe devait y jouer. Le San Francisco, rue Cuba.
Nous poursuivions notre balade, se dirigeant tranquillement vers l’hôtel et l’épicerie.
J’avais maintenant changé d’hotel, je logeais à l’hôtel zébré qui avait attiré mon attention le premier jour. Ayant décidé de sortir en soirée, nous pensions qu’il était plus simple et plus agréable de loger au même endroit.
C’est en route pour l’épicerie que je me décidai enfin à débuter ma collection de moustaches !
Dernier jour du mois de novembre… Je tenais à faire une collection de moustache.
C’est une aventure en soi !!
Plus de 40 photos de moustache !
C’était devenue une vraie folie !
Et tout le monde était vraiment sympathique à ma cause !
Excellent souper préparer par Maren et moi… Poisson, riz, sauce, légumes et vin !
Nous fîmes des envieux !
Bien que nous avions planifié le repas ensemble, nous nous rendîmes compte que nous n’avions pas du tout la même vision de ce souper !
Nous séparions les tâches, chacun ferait à sa façon, une partie du souper !
Souper avalé, nous allions retrouver Linika, pour notre première bière.
Le San Francisco était finalement 25$, en bonnes voyageuses, nous ne désirions payer ce montant.
Première bière, dans un café restaurent. Puis l’hollandaise nous quitta.
Sur les conseils amassés dans la rue, nous nous dirigions vers le Good luck. Une autre bière là et un Jaegermeister, boisson allemande, puis nous décidions de retourner à Notre bar, l’electric avenue.
Des portiers qui dansent sur le trottoir, des gens sympathiques partout.
Nous eûmes une vraiment bonne soirée.
Je me promenais dans le bar à prendre des photos de moustaches. On a dansé sur la musique des années 80, avec notre dizaine de nouveaux amis !
A 4heure du matin, nous décidions de rentrer.
Puis une fois à l’hôtel, nous nous décidions à trouver une autre place pour prendre un dernier verre !
En route encore une fois… une dernière bière. Nous avons finalement dansé jusqu’à 5hre du matin !
Arrivée à l’hôtel…j’échappai malencontreusement ma précieuse boucle d’oreilles dans le lavabo… déçue, je me dirigeai vers mon amie pour lui annoncer la nouvelle…
Elle me donna l’idée d’ouvrir le tuyau pour récupérer mon bien !
De retour devant mon lavabo. Je me dis que si je pouvais faire mon changement d’huile…. Je pouvais jouer les plombiers !
Des tuyaux de plastiques… qui se lançaient dévisser comme un charme ! Je trouvai ma boucle d’oreille, dans un tas de cheveux graisseux, mais je l’avais !!
Un matin, plus difficile, bien entendu… surtout que nous devions quitter pour 10hre pour récupérer notre dépôt de 20$.
Notre sac sur le dos, nous décidions de retourner vers l’auberge de jeunesse, où le personnel était franchement plus sympathique, y laisser nos sacs à dos pour la journée.
Mon amie devait prendre le traversier pour l’île du Sud… mais la soirée de la veille, lui avait fait manquer son traversier ! Elle resterait donc une journée de plus.
Nos sacs dans le cassier. Nous partîmes pour la plage.
Sans endroit prévu pour la nuit, nous prenions notre temps sur la plage.
La journée était parfaite pour cuver notre soirée !
Nous devions trouver une solution pour la nuit à venir… la venue de David Beckham à Wellington nous compliquerai certainement la tâche !
Après notre après-midi sur la plage et une excellente crème glacée, recommandée par notre guide de voyage, je décidai de poursuivre ma route sur l’île du Sud. A l'aventure!
Je trouvais le moment parfait, une complice de voyage avec qui je rigole sans cesse et la possibilité de louer une voiture et de partager la route.
Je voyagerai donc avec Maren pour les deux prochaines semaines, avant de retrouver mon amie pour un heureux temps des fêtes sans neige et sous le soleil.
Mon seul véritable problème à ce moment était que je n’avais pas apporté mes bottes de marche, car mon périple devait me conduire vers la ville… et je ne serai comment expliquer l’oubli de mon passeport et de toutes pièces d’identités !!!
Que je me trouvais idiote !
Mais inutile de me taper sur la tête !
Je téléphonai à mon amie pour lui faire de résumé de mes aventures et lui demander de me faire un petit paquet, contenant : mes bottes, mon passeport et mon permis de conduire.
Merci encore milles et milles fois ma belle Marie!
Bain de soleil terminé et coup de soleil sur les mollets. Nous retournions à l’auberge récupérer nos sacs à dos et voir pour trouver un endroit où loger…
Auberge de jeunesse : complet, plus que complet même.
Mais le commis sympathique, entrepris pour nous des démarches.
Il trouva finalement pour notre international duo, deux places en dortoir...
Un dortoir à 10 lits, à partager avec 8 garçons.
C’est mortes de rire et chargées comme des mulets que nous entreprirent notre route de 30 minutes à travers le centre-ville.
Un vieil hôtel, où nous devions traverser un bar pour se rendre à notre chambre.
En entrant de la chambre nous fûmes prise d’un autre incroyable fou rire en voyant les deux lits disponibles !
L’hôtel théâtre, nous le surnommions !
Deux lits perchés sur le rebord d’une énorme fenêtre qui donnait au niveau de la rue !
J’étais triste de déjà quitter Wellington, il y a tant de choses que je voulais encore voir ici…
Mais je pourrais y revenir sans difficulté… ce n’est pas très loin de Gisborne.
De mi-février à mi-mars, il y a un festival international d’arts… théoriquement, je devrais déjà être partie… mais honnêtement, je peux déjà dire, sans trop me tromper ; qu’en février, je ne serai prête à partir !
En attendant, je prends le traversier demain, pour deux semaines d’aventures sur l’île du sud. Je suis si heureuse de me permettre ce changement de plan !
Premièrement les accès à internet ne sont pas simple… et toujours payant. De 4 à 6$ de l’heure…et ce n'est pas rapide!
Partie de Taupo jeudi dernier, le 28. J’eu un long trajet d’autobus et pas des plus agréables !
Pour débuter l’autobus fût en retard de plus de 30 minutes, et il est plein, aucune place de disponible, bien tassé ! Je partageais donc le banc d’une fille un peu étrange et qui ne semblait pas très propre ! Parfois en petit bonhomme sur son banc, elle prenait des photos et parlait un peu toute seule. Pas une seule fois, elle a regardé en ma direction, elle me tournait le dos ! Elle voyageait avec un garçon assis derrière moi, qui chantait à voix haute avec ses écouteurs ! Un beau duo !
L’autobus n’était pas très grand et ne disposait pas de compartiment à bagages… c’est donc une trailler qui trimbalait mon bagage à l’arrière de l’autobus !
Par ailleurs la route fut vraiment belle, nous sommes passé très près du volcan Tangariro… mon premier volcan. J’ai vécu mon premier grand moment de frustration, niveau autobus, à ce moment quand je réalisai que je ne pouvais même pas prendre une foutue photo !
Tous ces paysages défilaient devant moi, j’arrivais à voir par la fenêtre entre le banc et une tête…J’étais déçue.
Parti en retard, arrivée en retard, si bien que mon transfert de 45 minutes, prévu pour souper, devint un transfert direct, en route pour Wellington.
Auberge de jeunesse, telle une tour à appartement au centre de la ville, je fus charmée par la gentillesse des gens à la réception. Ça commençait bien.
Je déposais mes choses et partie explorer la ville et trouver un endroit ou prendre une bière et écrire un peu… Premier bar intéressant… un bar avec une tête d’orignal qui ornait le mur !
Je poursuis, question de sentir un peu la vibe de cette ville.
Marchant à travers Wellington, je me disais… qu’il n’y avait rien à faire… J’aime les villes !
Je marchai un deuxième coin de rue et m’arrêtai pour regarder un édifice peint en zèbre... Et, là. J’entendis mon nom !
C’était Maren, la fille d’Allemagne avec qui j’avais partagé mon souper à vieille à Taupo.
En route pour une bière avec ma nouvelle amie, nous arrêtions finalement notre choix sur un bar des années 80. Electric avenue.
Une bière, deux bières, sur la petite terrasse à deux tables qui nous permet de voir les gens circuler dans la rue, et d’admirer les moustaches néo-zélandais (alors là vous devez peut-être lire « Mo »vembre pour comprendre…), dans un quartier passant et branché de Wellington.
Nous passions une très bonne soirées, rigolant devant les extraits de « Love boat » de « Dukes of Hazards », « Dirthy Dancing » et e « Mac Giver ».
Nous décidions de nous donner rendez-vous le lendemain, pour un peu de magasinage, et pour une visite du jardin botanique.
Le lendemain, vendredi le 30 novembre à 10h30.
Rendez-vous.
Nous débutions par explorer la rue Cuba. Des boutiques, des cafés, des terrasses. J’ai trouvé sur super robe dans une friperie pour 10$ ! Heureuse de mon achat, nous poursuivions.
J’aime beaucoup cette ville… Une belle ville, propre, pas trop grande, avec plus d’un théâtre, des foules de gens qui jouent de la musique dans la rue (dans la soirée et la nuit, ce sont des band complet qui jouent dans la rue !!!), et un festival d’art fin février, début mars, auquel, je me promets de revenir…
Les Néo-Zélandais sont, sincèrement, plus que sympathiques !
Tout le monde est gentil !
Arrêt sushi avec mon amie, nous nous dirigeons le cable car, qui nous mènerait au jardin botanique.
Mon amie ayant les muscles bien endoloris d’une marche en montagne des jours précédents, nous décidions de rester sur les sentiers plats et de retourner vers le café du sommet du cable car et de prendre un café là en admirant la vue le de ville.
C’est alors que nous avons rencontré Linika, l’un des hollandaise qui était du souper de l’avant-veille à Taupo.
Le monde est vraiment petit!
À trois, nous poursuivions notre visite du jardin botanique, s’aventurant sur les sentiers malgré les muscles souffrants de Maren.
Jardin de roses, maison des bégonias, jardins d’herbes…et tranquillement, nous retournions vers la ville et vers le parlement pour tenter une visite, malgré l’heure un peu tardive de fin d’après-midi. Trop tard pour visiter…
Nous bardions un brin avec un journaliste politique qui s’apprêtait à faire sa nouvelle télévisée. Tout en faisant son noeud de cravate, il nous invita dans un bar pour le soir, un bon groupe devait y jouer. Le San Francisco, rue Cuba.
Nous poursuivions notre balade, se dirigeant tranquillement vers l’hôtel et l’épicerie.
J’avais maintenant changé d’hotel, je logeais à l’hôtel zébré qui avait attiré mon attention le premier jour. Ayant décidé de sortir en soirée, nous pensions qu’il était plus simple et plus agréable de loger au même endroit.
C’est en route pour l’épicerie que je me décidai enfin à débuter ma collection de moustaches !
Dernier jour du mois de novembre… Je tenais à faire une collection de moustache.
C’est une aventure en soi !!
Plus de 40 photos de moustache !
C’était devenue une vraie folie !
Et tout le monde était vraiment sympathique à ma cause !
Excellent souper préparer par Maren et moi… Poisson, riz, sauce, légumes et vin !
Nous fîmes des envieux !
Bien que nous avions planifié le repas ensemble, nous nous rendîmes compte que nous n’avions pas du tout la même vision de ce souper !
Nous séparions les tâches, chacun ferait à sa façon, une partie du souper !
Souper avalé, nous allions retrouver Linika, pour notre première bière.
Le San Francisco était finalement 25$, en bonnes voyageuses, nous ne désirions payer ce montant.
Première bière, dans un café restaurent. Puis l’hollandaise nous quitta.
Sur les conseils amassés dans la rue, nous nous dirigions vers le Good luck. Une autre bière là et un Jaegermeister, boisson allemande, puis nous décidions de retourner à Notre bar, l’electric avenue.
Des portiers qui dansent sur le trottoir, des gens sympathiques partout.
Nous eûmes une vraiment bonne soirée.
Je me promenais dans le bar à prendre des photos de moustaches. On a dansé sur la musique des années 80, avec notre dizaine de nouveaux amis !
A 4heure du matin, nous décidions de rentrer.
Puis une fois à l’hôtel, nous nous décidions à trouver une autre place pour prendre un dernier verre !
En route encore une fois… une dernière bière. Nous avons finalement dansé jusqu’à 5hre du matin !
Arrivée à l’hôtel…j’échappai malencontreusement ma précieuse boucle d’oreilles dans le lavabo… déçue, je me dirigeai vers mon amie pour lui annoncer la nouvelle…
Elle me donna l’idée d’ouvrir le tuyau pour récupérer mon bien !
De retour devant mon lavabo. Je me dis que si je pouvais faire mon changement d’huile…. Je pouvais jouer les plombiers !
Des tuyaux de plastiques… qui se lançaient dévisser comme un charme ! Je trouvai ma boucle d’oreille, dans un tas de cheveux graisseux, mais je l’avais !!
Un matin, plus difficile, bien entendu… surtout que nous devions quitter pour 10hre pour récupérer notre dépôt de 20$.
Notre sac sur le dos, nous décidions de retourner vers l’auberge de jeunesse, où le personnel était franchement plus sympathique, y laisser nos sacs à dos pour la journée.
Mon amie devait prendre le traversier pour l’île du Sud… mais la soirée de la veille, lui avait fait manquer son traversier ! Elle resterait donc une journée de plus.
Nos sacs dans le cassier. Nous partîmes pour la plage.
Sans endroit prévu pour la nuit, nous prenions notre temps sur la plage.
La journée était parfaite pour cuver notre soirée !
Nous devions trouver une solution pour la nuit à venir… la venue de David Beckham à Wellington nous compliquerai certainement la tâche !
Après notre après-midi sur la plage et une excellente crème glacée, recommandée par notre guide de voyage, je décidai de poursuivre ma route sur l’île du Sud. A l'aventure!
Je trouvais le moment parfait, une complice de voyage avec qui je rigole sans cesse et la possibilité de louer une voiture et de partager la route.
Je voyagerai donc avec Maren pour les deux prochaines semaines, avant de retrouver mon amie pour un heureux temps des fêtes sans neige et sous le soleil.
Mon seul véritable problème à ce moment était que je n’avais pas apporté mes bottes de marche, car mon périple devait me conduire vers la ville… et je ne serai comment expliquer l’oubli de mon passeport et de toutes pièces d’identités !!!
Que je me trouvais idiote !
Mais inutile de me taper sur la tête !
Je téléphonai à mon amie pour lui faire de résumé de mes aventures et lui demander de me faire un petit paquet, contenant : mes bottes, mon passeport et mon permis de conduire.
Merci encore milles et milles fois ma belle Marie!
Bain de soleil terminé et coup de soleil sur les mollets. Nous retournions à l’auberge récupérer nos sacs à dos et voir pour trouver un endroit où loger…
Auberge de jeunesse : complet, plus que complet même.
Mais le commis sympathique, entrepris pour nous des démarches.
Il trouva finalement pour notre international duo, deux places en dortoir...
Un dortoir à 10 lits, à partager avec 8 garçons.
C’est mortes de rire et chargées comme des mulets que nous entreprirent notre route de 30 minutes à travers le centre-ville.
Un vieil hôtel, où nous devions traverser un bar pour se rendre à notre chambre.
En entrant de la chambre nous fûmes prise d’un autre incroyable fou rire en voyant les deux lits disponibles !
L’hôtel théâtre, nous le surnommions !
Deux lits perchés sur le rebord d’une énorme fenêtre qui donnait au niveau de la rue !
J’étais triste de déjà quitter Wellington, il y a tant de choses que je voulais encore voir ici…
Mais je pourrais y revenir sans difficulté… ce n’est pas très loin de Gisborne.
De mi-février à mi-mars, il y a un festival international d’arts… théoriquement, je devrais déjà être partie… mais honnêtement, je peux déjà dire, sans trop me tromper ; qu’en février, je ne serai prête à partir !
En attendant, je prends le traversier demain, pour deux semaines d’aventures sur l’île du sud. Je suis si heureuse de me permettre ce changement de plan !
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