
Partie de la ferme après le lunch, quelques heures de voitures nous attendaient.
Les distances entre les villes, sur l’île du sud, sont plus importantes. Cette fois-ci on s’en tirait pour pas trop… environ 3hre…!
Nous arrivions à Dunedin, ville de la côte est, peu avant 17hre.
Consultant nos bouquins touristiques, nous décidions de faire un court arrêt à la maison Calbury’s.
Ils répondent à plus de 85% du marché de chocolat de la Nouvelle-Zélande…
Petit arrêt chocolat, car mon amie est une « chocolat and cookies monster ». Moi je suis davantage du type : « réglisses ou chips» !

De là, se trouver une hôtel, le même rituel !
Nous arrêtions d’abord notre choix sur le YHA, l’auberge de jeunesse… mais les prix étaient pas mal élevés… surtout pour Maren, qui n’est pas membre du réseau. Comme nons faisions caisse commune, nous décidions de ne pas payer 28$ pour un lit en dortoir et d’aller plutôt à une autre auberge que nous avions vu plus tôt ; ils annonçaient 18$ la chambre et internet gratuit.… Parfait !
Chez Penny’s, la réception était vide.
Nous montions. Nous fîmes un tour de l’étage, pour voir si cela nous convenait…puis un garçon que nous croisions pour la deuxième fois nous demanda si nous avions besoin d’aide.
Chez Penny’s, la réception était vide.
Nous montions. Nous fîmes un tour de l’étage, pour voir si cela nous convenait…puis un garçon que nous croisions pour la deuxième fois nous demanda si nous avions besoin d’aide.
Il était l’homme que nous cherchions ! La réception.

Au moment de faire l’inscription, il nous demanda 22$ chacune… Le garçon était allemand, ce n’était plus une surprise pour moi de rencontrer des allemands… La Nouvelle-Zélande est remplie d’allemands en vacances !
Maren s’adressa donc à lui en allemand. Bien que la langue me soit étrangère, j’arrivais a suivre la conversation, reconnaissant quelques mots. Elle lui dit qu’il affichait 18$ à l’extérieur… et que nous étions venues pour le prix…
Il nous expliqua que ça avait changé de gérant depuis…
Et alors ?? C’est encore écrit dehors !!
Il nous expliqua que ça avait changé de gérant depuis…
Et alors ?? C’est encore écrit dehors !!
Nous obtînmes alors notre prix !
Notre meilleur deal à maintenant !
Notre meilleur deal à maintenant !
Encore une fois, nous étions en dortoir, mais cette fois-ci un dortoir pour filles. Une nouveauté pour nous, maintenant habituées aux dortoirs pour hommes !
L’endroit était correct, une grande cuisine, un grand salon avec quelques ordianteurs, un énorme téléviseur et des films en continue.
Par ailleurs, le prix était proportionnel à la propreté de l’endroit ! Nous devions faire la vaisselle avant de l’utilisée, et les douches étaient crasseuses ! On ne ferait pas notre vie là, alros ce n’était pas très grave !

Nous partimes à la recherche du supermarché, dans cette ville à l’urbanisme hexagonal; mon sens de l’orientation trouvait difficilement sa logique.
L’épicerie était toujours une expérience… Pour deux raisons ; premièrement les différents produits et deuxièment ; Maren et moi sommes également habituées à cuisiner de différentes façons, alors il était plus simple de se confier l’organisation des souper plutôt que de le faire ensemble. Bien, que nous sachions qu’il était plus simple de séparer les tâches, nous décidions à chaque fois de le faire ensemble… nous eûmes d’intéressantes recettes durant tout notre séjour ! Ce soir-là nous préparions un gratiné de légumes, sans fourneau pour le faire gratiner !
Puis nous partîmes à l’exploration de Dunedin, ville universitaire du sud.
Tout tourne autour de l’hexagone, c’est un point central pour débuter l’exploration.
Ce soir-là nous allions pas beaucoup plus loin trouvant, à notre goût la terrasse où jouait un quatuor. Nous primes la dernière table sur la terrasse, chauffée et couverte, car une fine pluie nous embêtait.
Peu après notre arrivée, le trio de la table voisine, composé de deux garçons et d’une fille, nous demandèrent de où nous venions… Bien entendu, nous avions l’air étrangère, chacune dans nos accents, discutant en anglais !
« Germany »
« French Canadian »
La réaction fût spontanée.
Ils avaient deviné que j’étais canadienne !
Je n’en croyais pas mes oreilles… J’avais l’air canadienne !
Peu après notre arrivée, le trio de la table voisine, composé de deux garçons et d’une fille, nous demandèrent de où nous venions… Bien entendu, nous avions l’air étrangère, chacune dans nos accents, discutant en anglais !
« Germany »
« French Canadian »
La réaction fût spontanée.
Ils avaient deviné que j’étais canadienne !
Je n’en croyais pas mes oreilles… J’avais l’air canadienne !
Mais que voulaient-ils dire ?
Ils nous invitèrent à leur table et nous passions la soirée avec eux…
Moi j’attendais de poser la question…
Ils nous invitèrent à leur table et nous passions la soirée avec eux…
Moi j’attendais de poser la question…
Pourquoi canadienne… ???
La réponse était, que je n’avais pas le look européenne, alors je venais d’Amérique, mais je n’avais pas l’attitude des états-uniennes… Alors j’étais canadienne.
La réponse était, que je n’avais pas le look européenne, alors je venais d’Amérique, mais je n’avais pas l’attitude des états-uniennes… Alors j’étais canadienne.
Avec l’accent, j’étais francophone.
La fille du trio était hollandaise, installée ici depuis quelques années, elle avait même pariée sur Montréal…
J’étais démasquée, bouche-bée et confondue !
Elle ajoutait que parce que mes souliers et mon manteau étaient de la même couleur et que je portais une casquette, cela lui avait fourni de bons indices…
Je ne portais pas, manteau et souliers de la même couleur par choix, mais bien par obligation, car ce sont les seuls que j’ai dans mon sac !!
Je ne portais pas, manteau et souliers de la même couleur par choix, mais bien par obligation, car ce sont les seuls que j’ai dans mon sac !!

Enfin, nous eûmes une très bonne soirée en compagnie de nos nouveaux amis, transformant la terrasse en piste de danse, toujours surprise de voir, combien les gens suivent quand quelqu’un part la cadence.
Nous fûmes invitées par Suzannah à venir jouer aux cartes en compagnie d’une autre amie… Parfait une souper de filles, comme je les aime !
J’en ai tant eu avec mes amies de Québec! Que de bons souvenirs !
Alors, vin, craquelins et fromage à la néo-zélandaise ! Je suis partante !
Le lendemain, nous partîmes explorer la ville, plus loin que l’hexagone !
Le lendemain, nous partîmes explorer la ville, plus loin que l’hexagone !
C'est une très jolie ville… de jolies boutiques, certaines un peu rétro, comme je les aime, beaucoup de jeunes designers locaux et de jolis cafés.

Nous fîmes un arrêt à la gare centrale, car nos bouquins de toursites en parlaient…mais il n’y avait pas tant à voir…


Alors nous nous baladions sans but dans la ville… C’est alors que nous passions devant un salon de coiffure.
Nous remarquions d’abord le nom : Haircut bar !
En riant, nous concluions que c’était pour nous !
12$... Pourquoi pas !
De toute façon, nous n’avions pas de plan pour la journée et c’était une journée, où fraichement lavés, mes cheveux n’étaient pas à leur meilleur…
On entre et on s’informe sur les prix. 15$, car nos cheveux sont longs.
On entre et on s’informe sur les prix. 15$, car nos cheveux sont longs.
Maren y va pour une teinture également.
Pour moi, pas de couleur, je voudrais bien revoir mes cheveux à leur vraie nature, sans rien.
Il faut savoir que pour moi, couper mes cheveux est une affaire sérieuse.
Bien que je ne sois pas la reine de la coiffure, et que mise à part, les laver et les sécher, je ne fais rien d’autre.
Je vis avec « la tête du jour », chaque jour.
Je rencontrai ma coiffeuse, ou ma coupeuse devrais-je dire, et je lui expliquai ce que je voulais. Elle comprit l’ampleur de sa tâche !
Ne pas trop toucher à la longueur, raccourcir sur le dessus, rafraîchir le dégrader, mais je ne veux pas un dégrader « gentil », différentes longueurs et des cheveux en désordre.
Ne pas trop toucher à la longueur, raccourcir sur le dessus, rafraîchir le dégrader, mais je ne veux pas un dégrader « gentil », différentes longueurs et des cheveux en désordre.
Elle commença la coupe, tout allait bien, dans la mesure où j’étais sur la chaise d’une coiffeuse !
Lui demandant de voir dans le miroir et lui donnant des directives, nous arrivions à quelque chose… Puis, voyant que sa patiente partait en même temps que mes cheveux, je conclue que la coupe était terminée, si je ne voulais pas me faire scalper !
Maren constatant que je ne semblais satisfaite, m’interrogea.
Je la rassurai en disant que je pouvais terminer le reste avec les ciseaux de mon couteau suisse. Après tout, je m’étais bien couper les cheveux dans un truck stop, utilisant le reflet de Colette, ma van, comme miroir !
Je remis ma casquette et quitta pour faire quelques courses pour notre soirée de fille durant la teinture de ma complice.
À mon retour, le propriétaire qui avait assisté à la scène, avait parlé à la coiffeuse qu’affairait maintenant à la coupe de cheveux de Maren, et elle me proposa de rectifier la coupe.
Je déclinai d’abord l’offre.
Trouvant qu’assez de cheveux étaient tombés pour cette journée… mais devant son insistance, et m’expliquant ce qu’elle voulait faire, je décidai de me rasseoir dans cette chaise de torture.
Mon erreur fût de croire qu’elle avait compris !
Mon erreur fût de croire qu’elle avait compris !
La coupe était jolie, mais loin, et encore plus loin, de mon profit !
Je remis ma casquette, en me disant que pour 15$ j’avais eu deux coupes plutôt qu’une !
Je vivais maintenant un difficile moment cheveux, constant que si j’enlevais les quelques couettes de cheveux plus longues… J’avais véritablement les cheveux aux épaules !!!

Puis direction : soirée de cartes.
Trimbalant nos deux bouteilles de vin, en bonnes invités, nous arrivions enfin, à la maison de Mel, l’amie de Suzannah.
Je fus surprise, de voir qu’elles n’avaient pas de vin ! Ni de fromage, ni de craquelin !
Elles avaient des cartes au moins !
En fait, je crois qu’elles avaient bu leurs vins avant notre arrivée !
Nous jouions une partie de vendeur de bines (!), un jeu que je ne connaissais, mais que je compris rapidement, ce qui ne fut pas le cas de Maren !
Nous jouions une partie de vendeur de bines (!), un jeu que je ne connaissais, mais que je compris rapidement, ce qui ne fut pas le cas de Maren !
Une partie fut assez. Le vin étant terminé, nous décidions de partir…
Mel, notre hôtesse était ivre de notre vin ! Et, nous avait raconté sa vie dans les moindre détails… la rencontre de son nouveau chum, en trop de détails pour nous !
Nous retournions à notre hôtel, tranquillement…

Le lendemain, nous quittions Dunedin, mais avant nous fîmes le tour de la péninsule à la recherche des pingouins à oeils jaunes …
Quel bel endroit !
Nous roulions jusqu’à la pointe.
De là, nous pouvions voir une réserve d’albatros, les plus grands oiseaux du monde.
De là, nous pouvions voir une réserve d’albatros, les plus grands oiseaux du monde.
Une mouette géante finalement !
Nous décidions de les regarder empaillées dans le hall plutôt que de payer !
Puis direction les pingouins ! 

Je décidai de ne pas partir en bus organisé, au coût de 35$, pour aller voir ces petites bêtes... Quant à les voir dans un faux zoo, je préferais assumer d'aller au zoo!
Je restai plutôt au petit café et je profitai de ce moment de solitude pour écrire… ce qui me fit le plus grand bien !
Maren ayant enfin vu les pingouins et moi ayant eu du temps pour écrire, nous étions toutes énergisées et prêtes à continuer.
Nous découvrîmes cet après-midi là de fascinants paysages…seules dans notre voiture louée, sur cette route perdue…
Puis nous retraversions Dunedin, pour reprendre l’autoroute et faire un arrêt sur la plus inclinée des routes. Record Guiness à l’appui !
Sur cette route des records, nous terminions notre aventure à Dunedin, ville dynamique et universitaire, à proximité d’une incroyable péninsule.
Nous étions maintenant en direction de Christchurch, pour la conclusion de notre aventure.
Maren prenait l’avion dans 3 jours et moi, je retournerais vers le nord, rejoindre mon amie Marie-Pierre et préparer le temps des fêtes, que je ne sens pas du tout !
Maren ayant enfin vu les pingouins et moi ayant eu du temps pour écrire, nous étions toutes énergisées et prêtes à continuer.

Nous découvrîmes cet après-midi là de fascinants paysages…seules dans notre voiture louée, sur cette route perdue…
Puis nous retraversions Dunedin, pour reprendre l’autoroute et faire un arrêt sur la plus inclinée des routes. Record Guiness à l’appui !

Sur cette route des records, nous terminions notre aventure à Dunedin, ville dynamique et universitaire, à proximité d’une incroyable péninsule.
Nous étions maintenant en direction de Christchurch, pour la conclusion de notre aventure.
Maren prenait l’avion dans 3 jours et moi, je retournerais vers le nord, rejoindre mon amie Marie-Pierre et préparer le temps des fêtes, que je ne sens pas du tout !

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